Miltoril Annar'Handuil

Miltoril Annar'Handuil

Lieu de naissance : les alentours de Quel'Thalas un petit manoir elfique.
Description physique : elfe d'allure svelte, la peau hâlée, les cheveux longs (nouées en queue de cheval) et blonds, une cicatrice dans le dos, borgne.
Qualités : vaillant, déterminé, esprit affûté.
Défauts : susceptible, bagarreur, irrascible.
Origine (ses parents, sa famille, sa région, ...): Miltoril est né il y 127ans dans la maison familliale que possèder ses parents en bordure de Quel'Thalas. Il n’y vécu que 106 années. Il est l'unique fils des époux Annar’Handuil.
Ses motivations, ses buts : combattre le Fléau et la Légion Ardente, parcourir le pays.
résumé en quelques lignes du BG : Miltoril naquis il y a 127 dans les environs de Quel'Thalas. L'année de ses 106 ans son père mourrut durant la seconde guerre.Sa mère décida qu'il était temps pour elle et l'enfant de retourner dans sa famille. Ensemble ils se rendirent à Quel'Thalas au manoir famillial. Une fois sur place, ils s'installèrent pendant quelque temps dans la famille maternelle de Miltoril. Mais les activités de la mère de Miltoril, qui versée dans la démonologie et la sombre alchimie, ne plaisant pas à sa famille, les obligea à partir une fois encore. C'est ainsi qu'ils partirent pour Lune d'Argent. Miltoril y passa 2 ans et sa mère y vécu jusquà sa mort.

[Description rapide des autres personnages à venir]

[Texte amené à être modifié]




Je me nomme Miltoril Annar'Handuil, comme l'ont voulu mes parents : Miltorin Handuil et Ilderell Annar. Je fus conçu il y a maintenant 127 ans et j'ai vu le jour dans une maison simple mais chalheureuse dans la campagne thalassienne. Je suis à présent un elfe dans la force de l'âge, la vie d'apprenti chevalier me permet d'entretenir une bonne forme physique et je ne souffre d'aucun mal d'aucune sorte. Je mesure 1m81, d'allure svelte j'ai les cheveux longs et clairs, d'une couleur s'approchant du blond. Ma peau est colorée par le soleil, me donnant un teint hâlé, ma mère m'appelait toujours ''enfant du soleil et du feu'' quand j'étais encore un tout jeune galopin d'elfe.

Le début et le fin d'une vie en campagne Thalassienne
Pour débuter, je vais d'abord vous parler de mes parents, car c'est grâce à eux que je suis devenu celui que je suis aujourd'hui.
Mon père, Miltorin Handuil, Capitaine de patrouille des environs la Cité était un homme bon et dévoué à sa famille et à sa patrie. Ardent défenseur de la cause elfique et de la nature il consacra sa vie à défendre Quel'Thalas et les habitants des alentours contre toutes sortes d'agressions qu'ont l'habitude de côtoyer les forestiers dans leur travail. D'un caractère généreux il était pourtant très spontané et cela se manifester génèralement lors d'une soirée arrosée plus que de raison à la fin de laquelle, immanquablement, mon père finissait dans une bagarre.
Ma mère quand à elle, Ilderell Annar, était quelque peu magicienne et alchimiste et consacrer son temps à son jardin, son atelier et les mondanités due à son rang de noble. Eperduement amoureuse de son mari, elle avait quitté sa famille pour le suivre dans la campagne thalassienne et démarrer ainsi leur jeune vie de mariés.
Ainsi ils vécurent quelques décennies près de Quel'Thalas avant que je n'arrive au monde un jour de pluie en pleine saison des floraisons et du renouveau de la nature. Ma jeune enfance fut très joyeuse, mes parents étaient émerveillés par ce nouvel arrivant dans leur vie et se réjouissaient chaque jour de la chance qu'ils avaient de pouvoir mener leur vie de la manière ou ils l'entendaient. Les années passant j'atteignis ma taille adulte et j'aidais ma mère aux travaux de la maison, j'appris de mon père à me servir des armes : masse, épée courte, épée longue et autres gourdins. Ma mère m'enseigna les rudiments de l'alchimie et m'appris à lire et écrire dans ma langue maternelle. Elle m'appris l'histoire de notre peuple et celle de ma famille. C'est aussi elle qui me familliarisa avec la magie.
Je fus amener à découvrir le milieu de la noblesse, apprenant son histoire, mais sans jamais réellement être passioné par tout cela. Cette période de ma vie fut assurément la plus heureuse et elle dura 106 années.
Ainsi la vie dura respirant le bonheur et la tranquillité ...jusqu'à ce fameux jour, il y a maintenant 21 ans. Durant l'automne de cette année là, alors que les feuilles des arbres ne recouvraient pas encore totalement les sentiers dans la forêt, survinrent deux semaines ou les élèments se déchainèrent, provoquant des vents forts et une pluie drue, le ciel se lézarda bien souvent d'éclatants éclairs et le tonnerre faisait grincer les dents des vieillards. Or donc, c'est à cette époque que la deuxième guerre s'engagea. Le Conseil de Quel'Thalas choisi de se rallier aux humains et aux nains et décida de mettre fin aux agissements de la Horde et les troupes partirent à la guerre. Naturellement mon père s'engagea pour cette glorieuse guerre ...et n'en revint jamais, tout comme nombre d'elfes. On gagna néanmoins cette guerre mais les pertes furent terribles.

Ma mère, pleine de vie et épanouie d'habitude, sombra dans une bien sombre mélancolie et je dus m'occuper de la maison pendant quelques temps, les voisins, amis et collègues de mon père tentant de nous aider à surmonter cette bouleversante expérience. Mais rien n'y fit, ma mère restait inconsolable. Nous partîmes donc pour Quel'Thalas, renouer avec les racines de ma mère. Nous arrivâmes sain et sauf à la cité, accueilli légèrement froidement par ma famille maternelle.

Arrivée et départ de Quel'Thalas
La demeure famillial des Annar se situait en bordure de Quel'Thalas, une splendide demeure faites de bois blanc et aux reflets verdâtres. Ma grand mère maternelle était magicienne confirmée mais également une noble respectée et sa fille ainée, Nuiren, était une bien gentille demoiselle. Aussi quand ma mère révéla ses talents d'ensorceleuse ce ne fut pas très bien vu par sa famille et son entourage. Il y eut donc toujours une certaine tension et rancoeur entre ma mère et sa mère (sa soeur étant la douceur personnifiée).
C'est donc dans un climat quelque peu oppressant que je passais les 2 années que dura notre séjour à Quel'Thalas. Ma mère et ma grand mère se disputant, souvent sur le même sujet qui était l'utilisation malsaine que ma mère faisait de sa magie. Cela découlait de la mort de mon père et de cette mélancolie qui ne quittait plus ma mère. Elle étudia les bases de la démonologie et commença à s'entrainer afin de modifier son pouvoir et de le tendre vers cette sorte de magie. Son alchimie aussi se modifia avec les années et plutôt que des onguents pour soulager la douleur, elle préparait de simples poisons pour éliminer les rongeurs et ce genre de vermines.
Pour ma part j'entrais dans les services de Gardes Thalassiens dans la région de Quel'Thalas et je patrouillais sur les sentiers et chemins du royaume. Je devins un combattant confirmé sans pour autant atteindre le niveau de l 'élite. Je connus l'amitié auprès de mes compagnons d'armes et une franche camaraderie nous unissait.
Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin ce qui devait arriver arriva et ma mère fut chassée du logis maternelle, au grand désespoir de sa soeur qui perdait ainsi une soeur et un neveu.

Une vie sans lumière
Chassez de Quel'Thalas, nous érâmes pendant plusieurs semaines dans les forêts bordant Lodaeron puis nous traversâmes les Maleterres pour déboucher sur les Terres Fantômes ou nous nous établir définitivement. Durant ces semaines ou nous étions totalement nomades, je m'occuper de chasser alors que ma mère préparer le repas, je cherchais le bois pour nos feux tandis qu'elle reprisait nos vêtements.
Puis un beau jour nous débouchèrent sur une minuscule clairiere mais juste assez grande pour que nous puissions y bâtir notre logis : une cabane de bois avec un toit de feuillages et autres branchages légers.
Ma mère s'occupait de la maison et moi je patrouillais dans les bois, effrayant les voyageurs égarés ou les personnes aux faciès peu engageants. Notre vie était ainsi préserver de toute intrusion, nous étions reclus nous suffisant l'un à l'autre.
Et puis un jour de grand soleil, en revenant d'une partie de chasse qui m'avait emmené loin dans la forêt je croisais la route d'un ours terrifiant et malade. Il écumait de bave et ses yeux étaient injectés de sang. Ne pouvant échapper à mon belliqueux adversairte je grimpait rapidement à un arbre et encochait une flèche à mon arc. Puis je visais le coeur de l'animal et lâchait la corde : la flèche s'élança mais l'ours eut un léger mouvement de recul, ce qui eut pour effet qu'il se prit la flèche juste sous le coeur provoquant un accès de rage redoublé. Il secoua l'arbre sur lequel j'avais trouvé refuge m'en faisant tomber. Je m'écrasait lamentablement sur le sol, à quelques pas de l'ours furieux ...je me crus condamner mais la providence fut ce jour là avec moi. Un jeune ours brun déboucha sur le lieu du combat et avec force geste réussit à détourner l'attention du vieil enragé. Ce laps de temps me suffit pour me retrouver mes esprits, encocher une nouvelle flèche et la tirer dans la nuque de l'énorme adversaire. Dans le même temps le jeune ours le chargea et ils luttèrent quelques secondes avant de se dégager l'un de l'autre. La suite fut plus confuse, je me suviens juste avoir été coincé près des deux animaux et mettre pris un coup de griffes dans le dos, puis ce fut le noir total. Je me réveillais quelques heures plus tard totalment seul et sans voir de traces des deux ours. Je me mis donc en direction de la cabane et ce que j'y vis à mon arrivée me glaça les sangs, jamais je n'avais connu pareille angoisse.
La cabane avait été pillée ...je m'élançais vers elle criant le nom de ma mère à gorge déployée ...seul le silence me répondit. Alors que je pénétrais dans la cabane je vis le corps de ma mère étendu sur le sol, sa jolie robe ensagnlantée, une épée dépassant de son abdomen ...la douleur et un chagrin immense me submergère et je crier ma tristesse et ma rage à la face du monde ...seule dans cette immense et ombrageuse forêt.
Les jours qui suivirent cette funeste découverte ne me laisse que peu de souvenirs ormis l'impression que j'ai vogué dans un brouillard spirituel.

Un nouveau départ
Cela fait maintenant 3 ans que mère est morte et j'ai parcouru pendant ces trois années toutes les contrées se ratachant au territoire elfique : des Bois chantants aux Prairie de Tirisfal, en suivant ma formation d'apprenti Chevalier de Sang.
Je me suis fixé un but : protéger les miens et ceux qui ont les mêmes idéaux que moi.Même si je rêve parfois d'une vengeance froide et sans pitié, quels qu'ils soient...retrouver les assassins de ma mère. Je rallie Lune d'Argent car j'ai entendu parler d'un ordre qui défend les mêmes idéaux que moi : les Gardiens éternels.

Aujourd'hui je suis en vue des fortifications de la ville, j'atteindrai sans doute la capitale avant la tombée de la nuit. Je vais pénétrer dans un monde qui m'est totalement famillier, retrouvant les amis que j'ai au sein des Gardiens que j'ai fini par rejoindre. J'y ai d'ailleurs rencontré davantage que des amis, ces personnes ont les mêmes idéaux que moi,cela fait maintenant plusieurs semaines que je les côtoie et j'ai l'impression d'avoir trouver une nouvelle famille.
Le Fléau reste encore bien ancré dans le monde, les périls sont nombreux et notre avenir est assombrit par les fumées de sombres montagnes ou reignent en maître des menaces plus terribles que je n'en ai jamais vu.
Mais je ne suis plus seul à présent...

[Texte amené à être corrigé]

Il était temps que je reprenne ce journal...cela fait maintenant quelques mois que j'ai rejoind les Gardiens Eternels, ma nouvelle famille.

Nombres d'aventures et de choses diverses me sont arrivées depuis mon retour à Lune d'Argent, du bon comme du moins bon.
J'ai rencontré beaucoup de personnes fort différentes, apprenant d'elles et me liant à certaines plus qu'à d'autres...amour ou amitié.

Il y a tellement à raconter que je ne sais par quoi commencer, le monde est si vaste et j'ai eu beaucoup à faire ici et ailleurs.

Beaucoup de combats j'ai mené, la plupart furent de grandes victoires...d'autres des défaites cuisantes. Malgré tout le Fléau semble être contenu dans certaines régions et bastions, ne reculant pas vraiment mais n'avançant pas non plus, ce qui est déjà une victoire en soi. Notre beau Royaume attire pas mal d'aventuriers de toutes sortes, qu'ils soient elfes ou autres.

Les alliances conclues avec les autres peuples composant la Horde semble s'être renforcées et de cela je suis heureux car nous défendons tous nos foyers contre les mêmes ennemis.
Au sein des Gardiens j'ai noué des amitiés sincères et durables, de cela aussi je suis heureux. Nous sommes tous là les uns pour les autres et notre union nous permet d'envisager l'avenir sous un jour meilleur.
J'ai également connu l'amour au sein de ces mêmes Gardiens...un amour qui m'a apporté les moments les plus heureux de toute ma vie...mais le malheur semblant m'enveloppé d'un manteau j'ai perdu cet amour je crois...et je me suis perdu moi-même en le perdant. Je ne sais comment cela en est arrivé à ce point, j'ai maintenant la conviction qu'elle est celle que j'aimerai vraiment pour toujours. Maleureusement je l'ai blessée, dans ma recherche trop avide de bonheur je me suis égaré et j'ai cru en aimer une autre...mais ce n'est pas le cas, je peux le dire maintenant avec le recul et après y avoir longuement réflèchi ces derniers jours. Elle restera celle que j'aimerai toujours, sans doute est-il trop tard pour nous mais je l'aurai mérité...je ne chercherai plus à en aimer une autre. Si je l'ai perdue alors j'assumerai cette perte et ne pourrait m'en vouloir qu'à moi-même, je préfère rester seul que de lui faire encore du mal, cela est au dessus de mes forces.
C'est en perdant la vue, momentanément, que j'ai réalisé qu'elle était la seule dans mon coeur et qu'elle le restera pour l'éternité. Je pèse mes mots avec soin...en écrivant ceci.

Je me dévouerai à ceux que je considére comme mes frères et soeurs, les protégeant de tous les pouvoirs et de toute la force que j'ai pu acquérir depuis que je suis devenu un Chevalier de Sang à part entière. Ils sont tout ce que j'ai dorénavant, si j'en venais à les perdre alors ma vie n'aurait plus grand sens.
Nous avons encore beaucoup à faire, nombres de choses à vivre ensemble, bien sur il y a les combats mais être simplement avec eux est quelque chose qui me rend joyeux, qui m'émeut..

Les morts-vivants sont encore trop nombreux, sans cesse revenant de la mort, défendant ce qu'ils se sont appropriés avec une volonté de fer, transmise par ceux qui les manipule depuis leurs sombres tours.
Il y a aussi les trolls, infâmes trolls qui ont juré notre perte depuis que nous nous sommes installés dans les Bois des Chants Eternels. Eux aussi sont en grand nombre, organiser en clans disséminés sur le continant, dans leur forteresse de Jintha'alor ou de Zul Gurrub ou j'ai appris récemment qu'ils venerent un Dieu sanglant et cruel, voulant étendre sa domination sur tous les vivants...l'odieux Hakkar, dont les Grands Prêtres sont investis d'un pouvoir défiant l'imagination..pour des mortels.
Sans oublier la Légion démoniaque qui n'aura de cesse de nous envahir que lorsque tout ne sera plus que chaos et désolation. D'après les rapports de mes amis ils ont investi en grand nombre une lointaine dimension appelée Ombreterre. On peut rejoindre cet endroit grâce à un Portail...maudit portail...là bas aussi il va me falloir aller combattre...

Tellement de combats à mener...
Mais je ne suis pas seul, nous ne sommes pas seuls, outre nos fiers Gardiens, d'autres combattent ces mêmes périls. Ainsi la Flamma Malva, sous la direction de l'honorable Dame Lothis combat avec ardeur le Fléau dans ses fiefs les plus périlleux : Stratholme et Scholomance. J'ai entendu parler d'autres Ordres comme Illusion, qui semble regroupé de puissants combattants, ou encore L'Aube Ecarlate, Tristram...et ceux dont le nom ne me revient pas au moment ou j'écris ces lignes.

L'avenir n'est pas radieux certes mais nous sommes nombreux à vouloir changer cela...peut-être arriverons nous à nos fins. Je l'espère...le souhaite...

[Suite à venir, j'ai quelques modifications à apporter et des remaniements de mon BG à faire.]

[Je crois que tu as posté deux fois le premier. Sinon jolis textes ]

Vivement la course poursuite pour la sauvegarde de ses oreilles